De El Calafate au parc national de Torres del Paine, en passant par Puerto Natales

Publié le 26 Février 2014

De El Calafate au parc national de Torres del Paine, en passant par Puerto Natales

Nous avons quitté El Calafate vers 15 heures, en direction de Puerto Natales. Tard pour commencer une journée de vélo. Après avoir blablaté pendant deux plombes avec des cyclos dans notre camping, nous avons croisé Ophelie et Fred, nos deux cyclos couchés. Au moment de partir, eux arrivaient à Calafate. Nous avons convenu de nous retrouver à Puerto Natales. Puis,nous avons retrouvé Daniel,notre espagnol préféré, sur la route et un autre francais seul, avec qui nous avons échangé trois mots. Bref, tout ceci ne nous a pas mis en avance !!! Du coup,nous nous sommes demandés si nous ne devions pas reporter notre départ au lendemain. Mais nous savions aussi que le vent allait nous aider et que la route était assez plate.

Plate,plate..mouais ! Plate comme une platitude sud-américaine...Pour arriver à ce point de vue (photo), nous avons grimper sur une dizaine de bornes. Ce n'etait pas prevu. Mais on l'a bien trouvé longue ! Mais l'arrivée sur le plateau a récompensé nos efforts.

Malgré nos faux départs successifs, nous ferons au total 100kms dans la journee, cool ! En fait, plus on avance dans le temps, plus on se trouve balèzes ! Vous ne trouvez pas ? Ah bon...

Sur le fameux plateau,toujours les guanacos, tranquilles mais ils s'ecartent un peu à notre passage. Courageux mais pas téméraires. Le drame pour ces bestioles sont les barbelés. Nous avons croisé bien trop de carcasses, les pattes arrières accrochées à ces infames barrières.

Sur le fameux plateau,toujours les guanacos, tranquilles mais ils s'ecartent un peu à notre passage. Courageux mais pas téméraires. Le drame pour ces bestioles sont les barbelés. Nous avons croisé bien trop de carcasses, les pattes arrières accrochées à ces infames barrières.

Comme de partout en Argentine ou au Chili, les barrières sont omniprésentes. Cette photo vous montre la seule portion de barrière en bois. Toutes les autres sont des barbelés d'un autre temps. Il est impressionnant de se trouver seuls au milieu de si grands espaces vierges sans pouvoir faire un pas de côté dans la nature. Ici, la nature est propriété privée. La terre appartient à des estancias ( ranchs, domaines ) de plusieurs centaines d'hectares. Pour se promener au milieu de la nature, vous avez le choix entre la route, la route et la route. Même pour bivouaquer, ce n'est pas evident. Nous ne pouvons pas nous écarter très loin du bord de la route pour être à l'abri des regards.

Comme de partout en Argentine ou au Chili, les barrières sont omniprésentes. Cette photo vous montre la seule portion de barrière en bois. Toutes les autres sont des barbelés d'un autre temps. Il est impressionnant de se trouver seuls au milieu de si grands espaces vierges sans pouvoir faire un pas de côté dans la nature. Ici, la nature est propriété privée. La terre appartient à des estancias ( ranchs, domaines ) de plusieurs centaines d'hectares. Pour se promener au milieu de la nature, vous avez le choix entre la route, la route et la route. Même pour bivouaquer, ce n'est pas evident. Nous ne pouvons pas nous écarter très loin du bord de la route pour être à l'abri des regards.

Toujours sur le plateau,nous profitons de cette ambiance paisible de fin d'après midi. La sérénité règne.

Toujours sur le plateau,nous profitons de cette ambiance paisible de fin d'après midi. La sérénité règne.

A 21h, nous trouvons la vialidad ( équivalent de notre D.D.E ) que des motards nous avaient indiqué. C'etait le seul endroit pour se ravitailler en eau. Très bon accueil de Mario, qui nous proposera une casa où d'autres cyclos se sont refugies egalement pour echapper au vent. Eux, viennent de Ushuaia. Nous nous sommes couchés tôt pour affronter dans les meilleurs dispositions les 70 kms de ripio qui nous attendent demain et que nous souhaitons boucler sur la journée.

A 21h, nous trouvons la vialidad ( équivalent de notre D.D.E ) que des motards nous avaient indiqué. C'etait le seul endroit pour se ravitailler en eau. Très bon accueil de Mario, qui nous proposera une casa où d'autres cyclos se sont refugies egalement pour echapper au vent. Eux, viennent de Ushuaia. Nous nous sommes couchés tôt pour affronter dans les meilleurs dispositions les 70 kms de ripio qui nous attendent demain et que nous souhaitons boucler sur la journée.

Le deuxième jour, nous avons la chance de voir plusieurs condors autour d'une charogne. Ca casse le mythe... ils ressemblent à de grosses dindes. Nous approcherons le plus lentement possible...

Le deuxième jour, nous avons la chance de voir plusieurs condors autour d'une charogne. Ca casse le mythe... ils ressemblent à de grosses dindes. Nous approcherons le plus lentement possible...

...mais il faut bien avouer que leurs envols ,sous nos yeux, ont un petit quelque chose en plus que les dindons de St Georges n'auront jamais.

...mais il faut bien avouer que leurs envols ,sous nos yeux, ont un petit quelque chose en plus que les dindons de St Georges n'auront jamais.

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Une vingtaine de kilomètres plus loin, nous apprendrons vraiment ce qu'est le vent de face en Patagonie. A partir de midi, nous pousserons nos vélos jusqu'à 20h, soit 34 kms de poussage à se faire fouetter les jambes par le gravier soulevé par le vent. La météo de cette journée a parlé d'un vent à 94km/h. Dans ces conditions, un vent de face arrête net les vélos, et un vent de côté nous fait tomber...Le vent est un véritable enfer pour les cyclos allant jusqu''à nous faire regretter les pluies de la caraterra. Lorsque, au loin, nous aperçevons notre deuxième vialidad, nous pouvons respirer. Notre nuit, nous l'avons passé sous notre tente, piqué à l'abri du vent après avoir mangé aux côtés des techniciens de la route.

Une vingtaine de kilomètres plus loin, nous apprendrons vraiment ce qu'est le vent de face en Patagonie. A partir de midi, nous pousserons nos vélos jusqu'à 20h, soit 34 kms de poussage à se faire fouetter les jambes par le gravier soulevé par le vent. La météo de cette journée a parlé d'un vent à 94km/h. Dans ces conditions, un vent de face arrête net les vélos, et un vent de côté nous fait tomber...Le vent est un véritable enfer pour les cyclos allant jusqu''à nous faire regretter les pluies de la caraterra. Lorsque, au loin, nous aperçevons notre deuxième vialidad, nous pouvons respirer. Notre nuit, nous l'avons passé sous notre tente, piqué à l'abri du vent après avoir mangé aux côtés des techniciens de la route.

Notre troisième journée, nous la ferons sur l'asphalte et surtout sans le moindre vent. C'est sur cette route que nous avons retrouvons la vue sur les massifs montagneux avec au loin le parc national des Torres del Paine. Les moutons et les flamands roses nous encouragerons à affronter...

Notre troisième journée, nous la ferons sur l'asphalte et surtout sans le moindre vent. C'est sur cette route que nous avons retrouvons la vue sur les massifs montagneux avec au loin le parc national des Torres del Paine. Les moutons et les flamands roses nous encouragerons à affronter...

...la steppe Patagone et son immensité.

...la steppe Patagone et son immensité.

Au km 90 de notre journée, nous sommes arrivés de nouveau à la frontière. Bien contents de tomber sur ce panneau placé au sommet d'une côte de 6 kms. La douane chilienne ne laisse rien passer en ce qui concerne les produits frais. Une pomme que Flo avait gardée, nous a obligé à démonter toutes nos saccoches pour être passées au peigne fin. La pomme après avoir étè pesée, finira coupée en quatre, jetée à la poubelle puis désinfectée. Le comportement des douaniers à notre égard nous a montré qu'il ne fallait pas rire avec ces choses là. Aujourd'hui encore, nous n'arrivons pas à avoir d'explication claire quant à ces dispositions. Mesure d'hygiène ? Protection de la biodiversité chilienne ?...

Au km 90 de notre journée, nous sommes arrivés de nouveau à la frontière. Bien contents de tomber sur ce panneau placé au sommet d'une côte de 6 kms. La douane chilienne ne laisse rien passer en ce qui concerne les produits frais. Une pomme que Flo avait gardée, nous a obligé à démonter toutes nos saccoches pour être passées au peigne fin. La pomme après avoir étè pesée, finira coupée en quatre, jetée à la poubelle puis désinfectée. Le comportement des douaniers à notre égard nous a montré qu'il ne fallait pas rire avec ces choses là. Aujourd'hui encore, nous n'arrivons pas à avoir d'explication claire quant à ces dispositions. Mesure d'hygiène ? Protection de la biodiversité chilienne ?...

En repartant du poste frontière, il nous restait 25 kms pour rejoindre Pueto Natales. Sur cette route, nous sommes passés devant le énième lieu de pélerinage " de bouteilles en plastique ". Après investigation de notre part, nous avons enfin compris pourquoi les argentins et les chiliens entassent toutes leurs bouteilles de soda devant une petite chapelle à la mémoire de la defunte Corréa. Non, ce n'est pas une déchetterie, mais une légende raconte qu'on retrouva une femme morte de soif sur le bord de la route. Son bébé, encore vivant continuait à téter sa défunte mère. Cette histoire fit de cette femme, une sainte. Les croyants viennent régulièrement déposer une bouteille pleine devant cette petite chapelle, en sa mémoire. Ce que nous trouvons un petit peu tard...

En repartant du poste frontière, il nous restait 25 kms pour rejoindre Pueto Natales. Sur cette route, nous sommes passés devant le énième lieu de pélerinage " de bouteilles en plastique ". Après investigation de notre part, nous avons enfin compris pourquoi les argentins et les chiliens entassent toutes leurs bouteilles de soda devant une petite chapelle à la mémoire de la defunte Corréa. Non, ce n'est pas une déchetterie, mais une légende raconte qu'on retrouva une femme morte de soif sur le bord de la route. Son bébé, encore vivant continuait à téter sa défunte mère. Cette histoire fit de cette femme, une sainte. Les croyants viennent régulièrement déposer une bouteille pleine devant cette petite chapelle, en sa mémoire. Ce que nous trouvons un petit peu tard...

Entre la frontière et Puerto Natales, nous avons traversé un village paysan appelé Dorotea. A ses alentours, les fermes et les paysages donnent une atmosphère bien particulière. La solitude et les nuages poussés par le vent. Voilà l'image désolée de la Patagonie.

Entre la frontière et Puerto Natales, nous avons traversé un village paysan appelé Dorotea. A ses alentours, les fermes et les paysages donnent une atmosphère bien particulière. La solitude et les nuages poussés par le vent. Voilà l'image désolée de la Patagonie.

Puerto Natales est une ville située dans un lieu exceptionnelle. Sa baie est alimentée par les eaux froides du Pacifique sud, entre steppe et sommets enneigés.

Puerto Natales est une ville située dans un lieu exceptionnelle. Sa baie est alimentée par les eaux froides du Pacifique sud, entre steppe et sommets enneigés.

Nous sommes dans cette ville à deux pas du grand parc national de Torres del Paine. Partout nous rencontrons des marcheurs, sacs au dos, partant découvrir ces falaises pieds dans les glaciers fouettées par un vent violent. Dans ces montagnes, le randoneur peut affronter les quatres saisons en une journée. Connaître la douceur du soleil à 9h, prendre une averse à 12h et se perdre dans le blizzard à 17h...La nature est capable de tout !

Nous sommes dans cette ville à deux pas du grand parc national de Torres del Paine. Partout nous rencontrons des marcheurs, sacs au dos, partant découvrir ces falaises pieds dans les glaciers fouettées par un vent violent. Dans ces montagnes, le randoneur peut affronter les quatres saisons en une journée. Connaître la douceur du soleil à 9h, prendre une averse à 12h et se perdre dans le blizzard à 17h...La nature est capable de tout !

Et comme nous sommes bien maso et que pousser nos vélos sur une piste pourrie ne nous suffit pas, nous sommes partis quatre jours, sacs au dos, découvrir cet endroit " idyllique ". Au premier refuge, le drapeau de la région des Magallanes flotte au-dessus de nos têtes. Le lieu est surprenant. Le parc national est organisé comme un parc d'attraction: foule arrivant en bus, brochures explicatives distribuées à la volée et queue leuleu sur le sentier de départ. Surprise et indignation à la française s'empare de nous. En France la montagne te surtout la nature doit appartenir à tout le monde. Mais ici, tout est propriété privée. Quelle bizarrerie de découvrir de si vastes étendues vides d'Homme en Argentine et au Chili sans pouvoir te promener ou bon te semble dans ces paysages uniques. Vous avez déjà découvert les barrières et barbelés dans la pampa et la steppe. Vous découvrez maintenant un parc naturel où tout est payant et interdit. La seule forme selon eux de préserver la nature...

Et comme nous sommes bien maso et que pousser nos vélos sur une piste pourrie ne nous suffit pas, nous sommes partis quatre jours, sacs au dos, découvrir cet endroit " idyllique ". Au premier refuge, le drapeau de la région des Magallanes flotte au-dessus de nos têtes. Le lieu est surprenant. Le parc national est organisé comme un parc d'attraction: foule arrivant en bus, brochures explicatives distribuées à la volée et queue leuleu sur le sentier de départ. Surprise et indignation à la française s'empare de nous. En France la montagne te surtout la nature doit appartenir à tout le monde. Mais ici, tout est propriété privée. Quelle bizarrerie de découvrir de si vastes étendues vides d'Homme en Argentine et au Chili sans pouvoir te promener ou bon te semble dans ces paysages uniques. Vous avez déjà découvert les barrières et barbelés dans la pampa et la steppe. Vous découvrez maintenant un parc naturel où tout est payant et interdit. La seule forme selon eux de préserver la nature...

Mais notre ascension à l'aube du deuxième jour nous fait, un peu , oublier la déception de la veille. C'est en partant ce matin là, à 6h, que nous avons découvert seuls la nature. Derrière nous, les trois Torres.

Mais notre ascension à l'aube du deuxième jour nous fait, un peu , oublier la déception de la veille. C'est en partant ce matin là, à 6h, que nous avons découvert seuls la nature. Derrière nous, les trois Torres.

Nous pouvons faire un rapide rapprochement avec le massif du mont Fitz Roy situé à 500 kms d'ici.

Nous pouvons faire un rapide rapprochement avec le massif du mont Fitz Roy situé à 500 kms d'ici.

Les paysages du parc sont tout à fait variés. Nous passons des pitons rocheux des Torres à du paysage d'alpage.

Les paysages du parc sont tout à fait variés. Nous passons des pitons rocheux des Torres à du paysage d'alpage.

Puis au détour d'un sentier, encore et toujours cette eau omniprésente aux couleurs polynésiennes.

Puis au détour d'un sentier, encore et toujours cette eau omniprésente aux couleurs polynésiennes.

Lacs, steppe, forets clairesemées et en arrière plan des sommets aux glaciers étincelants.

Lacs, steppe, forets clairesemées et en arrière plan des sommets aux glaciers étincelants.

Le petit matin du monde... Seuls au bord du torrent, nous sommes partis à l'aube pour découvrir la "Vallée des francais". C'est notre troisième jours de randonnée.

Le petit matin du monde... Seuls au bord du torrent, nous sommes partis à l'aube pour découvrir la "Vallée des francais". C'est notre troisième jours de randonnée.

Le bonheur de partir lorsqu'il fait encore nuit réside dans celui de voir le soleil éclairer petit à petit notre décor. L'atmosphère n'en est que plus impressionnante.

Le bonheur de partir lorsqu'il fait encore nuit réside dans celui de voir le soleil éclairer petit à petit notre décor. L'atmosphère n'en est que plus impressionnante.

Parfois, la nature a des airs de jardin zen.

Parfois, la nature a des airs de jardin zen.

La "Vallée des francais". On ne sait pas pourquoi elle porte ce nom. En tout cas, elle nous plait bien. Partout, l'eau coule des glaciers alentours et le cirque spectaculaire s'offre à nous au détour d'un sentier.

La "Vallée des francais". On ne sait pas pourquoi elle porte ce nom. En tout cas, elle nous plait bien. Partout, l'eau coule des glaciers alentours et le cirque spectaculaire s'offre à nous au détour d'un sentier.

Parfois, le glacier (glaciar francès) qui nous surplombe craque et nous offre en spectacle l'éboulement de morceaux de glace. Le bruit, au milieu du cirque est très impresionnant, nous faisant penser au tonnerre.

Parfois, le glacier (glaciar francès) qui nous surplombe craque et nous offre en spectacle l'éboulement de morceaux de glace. Le bruit, au milieu du cirque est très impresionnant, nous faisant penser au tonnerre.

Les différentes couleurs des pics nous montrent à quel point la nature évolue. Il y a quelques millions d'années, peut-etre y avait-il un glacier dans la vallée.

Les différentes couleurs des pics nous montrent à quel point la nature évolue. Il y a quelques millions d'années, peut-etre y avait-il un glacier dans la vallée.

Notre quatrième journée de trek était consacrée à la découverte du gacier Grey. Le temps a bouché la vue plus lointaine de la vallée. Mais l'atmosphère n'en etait que plus surprenante.

Notre quatrième journée de trek était consacrée à la découverte du gacier Grey. Le temps a bouché la vue plus lointaine de la vallée. Mais l'atmosphère n'en etait que plus surprenante.

En aval du glacier, le lac est parsemé de petits icebergs.

En aval du glacier, le lac est parsemé de petits icebergs.

L'image des quelques jours qui viennent de s'écouler montre à quel point le vent rend fou...Flo vous fait la bise ! Après ces quatres jours de trek, nous nous réservons une bonne journée de repos pour écrire le blog que vous etes en train de lire. Plusieurs heures de tri photos pour vous faire plaisirs. Vous avez intéret à apprécier le travail effectué ! Demain, nous prenons la route pour Punta Arenas et, et, et,.......la Terre de Feu et Ushuaia !!!!!

L'image des quelques jours qui viennent de s'écouler montre à quel point le vent rend fou...Flo vous fait la bise ! Après ces quatres jours de trek, nous nous réservons une bonne journée de repos pour écrire le blog que vous etes en train de lire. Plusieurs heures de tri photos pour vous faire plaisirs. Vous avez intéret à apprécier le travail effectué ! Demain, nous prenons la route pour Punta Arenas et, et, et,.......la Terre de Feu et Ushuaia !!!!!

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M
Classe... Et vos photos sont superbes! <br /> Par contre, j'ai un doute sur certaine, on dirait un fond de parc d'attraction, celle avec le soleil qui se lève sur la montagne derrière... ça sent le faux pour celle-ci. Mais c'est pas grave on vous en veut pas, tout le monde triche un peu ;)
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J
Toujours de magnifiques paysages. Encore quelques tours de pédales pour profiter et puis nous raconter. Les dindons de St Georges vous saluent bien bas!!!!
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J
Comme à chaque lectures, la respiration s’accélère... la jalousie fait son apparition!!! Félicitations, c'est beau !!!<br /> Profites Tom, car ton baobab commence à compter les jours!!!!!<br /> Bises
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Y
Arrêtez avec vos photos là, s'il vous plait... Ça donne trop envie!!!!! Continuez bien et surtout, profitez bien de cette expérience! Grosses bises
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C
C'est vraiment très beau, vous êtes très courageux. Vivement votre retour quand même, bisous.
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